Pourquoi vous allez forcément voter pour le mauvais président ?

 


Rassurez-vous : on ne dit pas qu'il n'y a que des mauvais candidats. Mais simplement, qu'il n'y a pas de candidat idéal*. Sinon, on saurait tous pour qui voter. Il est impossible qu’un candidat et son programme remplissent à 100% vos critères de choix, parce que choisir, c’est renoncer.
Pour nous, un première décision est prise : mieux vaut voter en doutant que subir pendant 5 ans un choix qu’on n’a pas fait. D'ailleurs dimanche, à Paris, on lance l'apéro des
"A voté" : dans une dizaine de bars, les patrons offrent un verre à ceux qui présenteront leur carte d'électeur tamponnée. 




A J-2, si certains sont sûrs de leur choix, d'autres sont encore dans un épais brouillard : en dehors des programmes, on se demande si tel candidat ou tel candidat va vraiment appliquer son programme. S'il a assez d’expérience. De charisme. D’autorité. S'il est sincère. S'il sera un bon représentant de la France. 

Pour prendre cette décision, on a trié pour vous les meilleurs outils pour guider vos choix : la méthode analytique, ça, c'est si vous faites plus fonctionner votre cerveau gauche. La méthode intuitive, ça, c'est si vous faites plus fonctionner votre cerveau droit.



Analysez les programmes, en répondant au questionnaire des
Décodeurs du Monde, 18 questions majeures pour savoir de quel candidat on se rapproche le plus, ou imprimez le quizz de VOXE.org en entourant les propositions avec lesquelles vous êtes d'accord et en comptant les têtes des candidats qui reviennent le plus souvent. 


C'est la méthode du "mini-maxi": faire la liste de ses valeurs et ses attentes minimum et la liste de ce qui serait rédhibitoire. Ce serait comme aller du " Encore heureux ! " à " Tu pousses le bouchon trop loin ". Votre candidat se trouve dans la zone intermédiaire. 
 Pour terminer sur une méthode vraiment pas sérieuse mais très drôle, écoutez les playlists musicales des candidats créées par l'agence Darewin : Le flow des candidats. A bon entendeur, salut. 

A méditer :
" L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote." 
Pierre Desproges
 
 


*sauf Barack Obama

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